« Douceur et fermeté, amour et patience » : le personnel de l’internat Don Bosco Ganshoren sur les pas de Don Bosco
16 mai 2025

Du 5 au 9 mai 2025, tout le personnel de l’internat Don Bosco Ganshoren a vécu de séminaire de formation pour découvrir ou approfondir, les racines de notre pédagogie salésienne en Italie. Deux jours à Mornese pour approcher Marie-Dominique Mazzarello et deux jours aux Becchi et à Turin pour Jean Bosco et l’œuvre déployée du Valdocco. Un séjour marqué par la joie et la foi dans le projet de saint Jean Bosco de prendre soin des jeunes.

Devant la statue de Don Bosco au Valdocco.
« Ces temps fut un moment de retour à la source pour redécouvrir notre charisme et un temps connaissance réciproque entre collaborateurs pour tisser nos relations ».
« Quelle joie de pouvoir partager ces trois jours avec les collègues, sur les pas de Marie-Dominique et Don Bosco. J’ai été touchée de leur émerveillement et de voir comment le fait de sentir sur place le charisme, comprendre ce qui habitait nos fondateurs, les anime encore plus pour le travail auprès des jeunes que nous menons à Bruxelles. »
« C’est une chance que d’avoir pu vivre cela en équipe et d’avoir maintenant des souvenirs partagés. Que tout cela nous permette de rêver ensemble. Merci »
Toute l’équipe est rentrée heureuse et changée en profondeur de cette expérience. Il est certain que les enfants et jeunes de l’internat profiteront de cette nouvelle énergie renouvelée. En témoigne les belles lignes écrite par François (éducateur) à son retour : « Je retiens de ce voyage : qu’aucun rêve n’est trop grand et aucun rêveur n’est trop petit, qu’oser aller à contre-courant est une voie à suivre, que l’espérance et la persévérance sont des clés à garder précieusement, qu’un leader non accompagné est dangereux et qu’une équipe est composée d’éléments différents qui peuvent se multiplier ou se diviser selon les clés qu’ils ont porté avec eux.
Qu’une personne peu importe son âge peut encore s’émerveiller d’un premier voyage, qu’un groupe d’adultes est égal à des petits-enfants qui jouent, qu’avoir trop d’attente peut atténuer la beauté d’un séjour, que le silence est une douce mélodie, qu’un projet de vie n’est admirable que s’il est porté par l’amour de son prochain.
Ensuite, je retiens que croire en l’autre est une force inépuisable et que sans l’amour nous ne sommes rien. L’étincelle d’un projet peut enflammer tout un monde s’il est porté par l’amour et le souci d’aider le démuni, et il n’est nul besoin de solution admirable pour résoudre un souci.
Douceur et fermeté, amour et patience, volonté et persévérance. Croire. »