Chantal Kieffer, nouvelle coordinatrice des salésiens coopérateurs

2 juillet 2015

Chantal Kieffer, nouvelle coordinatrice des salésiens coopérateurs

Chantal Kieffer est la nouvelle coordinatrice des salésiens coopérateurs. Elle a pris le relais d’Hélène Bushenrieder, décédée en décembre dernier. Elle est une jeune salésienne puisqu’elle a fait sa promesse en 2008 à Barlieu (Berry). « Je crois que j’étais salésienne sans le savoir car en tant que chef d’établissement j’ai toujours considéré qu’il fallait s’appuyer sur les forces des jeunes pour avancer. » 

 

 

 

Chantal Kieffer était professeur d’économie et gestion dans l’enseignement public, puis chef d’établissement, elle a exercé à Nantes, puis en région parisienne. Elle n’a découvert les salésiens que tardivement : « Quand je suis arrivée à Barlieu, j’ai fait de la catéchèse, j’ai rencontré Renée, responsable du groupe, qui m’a permis de faire la connaissance de personnes qui pensaient la pédagogie avec les mêmes idées que moi et faisaient des choses extraordinaires. » 

 

 

« Nous allons rapidement créer un groupe de Salésiens coopérateurs de 25-40 ans »

Pour Chantal Kieffer les impulsions à donner aux groupes des Salésiens Coopérateurs sont claires :

  • Créer un groupe de salésiens coopérateurs de 25-40 ans.
  • Rassembler les Salésiens coopérateurs isolés.  

 

« Dés la rentrée, nous allons créer un groupe jeune 25-40 ans. L’idée est d’organiser une première rencontre à Paris avec des personnes qui pourraient être intéressées. Nous ne voulons pas nous ingérer dans cette création, nous nous présentons comme partenaires. Ce qui me parait important, c’est un travail de réflexion et de groupe. » 

 

« La richesse de la famille salésienne est importante. Il faut la faire connaitre »

« Depuis un an j’ai pris conscience de ce qu’est la famille salésienne, j’ai l’impression de voir ce que nous pourrions faire pour nous faire connaitre.

 

Je fais partie d’un groupe où il n’y a pas de maisons salésiennes. Or, les coopérateurs doivent pouvoir exister sans qu’il y ait nécessairement une maison salésienne à proximité, une  paroisse ou une école. Etre Salésien Coopérateur, c’est une philosophie, un choix de vie. On peut très bien être salésiens dans notre vie, là où on est, dans la paroisse, dans la cité. C’est là que nous pouvons nous faire connaitre en priorité.

 

De nombreux coopérateurs ont participé aux préparatifs des événements liés au Bicentenaire dans leur paroisse, dans les écoles ou dans les villes qui ont accueilli la Don Bosco Academy. A Barlieu aussi, nous avons également fait un gros travail pour nous faire connaitre dans notre ville. Le Rallye Don Bosco que nous avons organisé le 16 mai avec les jeunes, adultes a permis de nous faire connaitre largement.  » 

 

Neuf nouvelles promesses ont été prononcées au mois de juin

L’ambition de Chantal Kieffer correspond bien à la réalité. L’année du Bicentenaire a un effet sur la visibilité du charisme des Salésiens Coopérateurs. Tout récemment neuf nouvelles promesses ont été prononcées. Neuf ! Sept à Lyon et deux au Centre-Atlantique (Angers-Luçon-Poitiers). C’est le signe que les Salésiens coopérateurs attirent de plus en plus. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chantal Kieffer

Coordinatrice des Salésiens coopérateurs de France
Salésiens Coopérateurs
Propos recueillis par Hélène Boissière Mabille

2 juillet 2015

 

 

 

Quelle présence des salésiens coopérateurs en France ?

 

 

Plus d’information sur : le blog des Coopérateurs de France

 

 

 

Famille Salésienne