Le Figaro en visite à Don Bosco Giel. Et Jean-Bosco Guînes à l’honneur dans La Voix du Nord
2 avril 2022
Dans son édition du jeudi 31 mars, le quotidien Le Figaro consacre une pleine page au retour en force des internats.
« Conflits familiaux, dépendance aux écrans… l’internat revient en force », titre le journal, indiquant que 189 414 élèves sont « internes » en France en 2022, soit 3,3% des collégiens et lycéens. Ce qui évidemment est très en retrait par rapport aux années 70 (à l’époque, c’était 22% dans l’enseignement catholique, et 11% dans l’enseignement public).
Pour illustrer ce sujet, le Figaro a envoyé l’une de ses journalistes, Maud Kenigswald, en Normandie… à Giel-Don Bosco (Orne). « Cela ressemble à Poudlard », témoigne frère Benjamin Dewitte, salésien de Don Bosco et directeur des études du collège. L’internat accueille 250 jeunes.
« Afin de réconcilier les jeunes avec l’école, l’équipe a instauré une méthode oscillant entre bienveillance et discipline. Premier ingrédient de leur équilibre : la musique… », raconte la journaliste du Figaro, avant de détailler la vie dans le dortoir masculin des collégiens. Puis dans celui des filles.
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Et dans le Pas-de-Calais
Quelques jours plus tôt, c’est un autre établissement du réseau salésien, Jean-Bosco à Guînes, dans le Pas-de-Calais, qui a eu les honneurs de la presse, en l’occurrence de La Voix du Nord. La raison, la deuxième place de l’établissement dans le classement régional des lycées.
Ici, écrit le journal, la cheffe d’établissement « Patricia Pagès insiste sur la taille humaine de l’établissement (360 élèves, une cinquantaine d’enseignants et 6 agents de vie scolaire) qui accueille des jeunes issus de catégories socioprofessionnelles « pas forcément très favorisées », où le recrutement n’est pas sélectif. « On va avant tout s’attacher au projet et à la motivation de l’élève », souligne-t-elle.
« Le credo, c’est « rendre le jeune acteur de sa formation » mais aussi « l’ouvrir au monde qui l’entoure à travers des thématiques en lien avec l’actualité« , poursuit Patricia Pagès, dans cet article du quotidien de Lille.
