La moule

25 novembre 2017

« Tu es comme la moule, mon frère, enfermée et tranquille. »

Et forcément, si tu es comme la moule, tu es un peu « parqué ».

Autant la moule est appréciée et attendue selon les saisons, autant on peut être déprécié de s’entendre traiter de « moule » avec tous les noms apparentés : mollasson, mollusque, nouille…

Entre l’enfermement tranquille et l’intranquilité devant tant de choses à faire, de combats à mener, d’indignations face à la passivité d’un certain monde, d’actions à entreprendre pour un peu plus d’humanité, pour un peu plus de justice et de paix, nous sommes pris en tenaille. Mais sommes-nous tenaillés ?

Sortir de sa coquille pour certains peut être un défi quotidien.

« Il n’y a que les poissons morts qui suivent le courant… »

Alors sors, prends des risques, réveille en toi la moule trop tranquille… Tu verras : ça fait vivre !

« Tu es comme la moule, mon frère, enfermée et tranquille. »
Et forcément, si tu es comme la moule, tu es un peu « parqué ».
Autant la moule est appréciée et attendue selon les saisons, autant on peut être déprécié de s’entendre traiter de « moule » avec tous les noms apparentés : mollasson, mollusque, nouille…
Entre l’enfermement tranquille et l’intranquilité devant tant de choses à faire, de combats à mener, d’indignations face à la passivité d’un certain monde, d’actions à entreprendre pour un peu plus d’humanité, pour un peu plus de justice et de paix, nous sommes pris en tenaille. Mais sommes-nous tenaillés ?
Sortir de sa coquille pour certains peut être un défi quotidien.
« Il n’y a que les poissons morts qui suivent le courant… »
Alors sors, prends des risques, réveille en toi la moule trop tranquille… Tu verras : ça fait vivre !

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