Tolérance

16 octobre 2017

Chaque éducateur a un certain degré de tolérance à la transgression. Il réagira plus ou moins vite selon sa conception de ce qu’est un acte grave. Entre la « tolérance zéro » qui ne pardonne rien et sanctionne tout, et le laxisme qui ne voit aucune limite, l’éducateur salésien aime établir avec les jeunes une sorte de contrat de confiance. C’est ensemble qu’ils établissent les règles et les sanctions éventuelles. Ainsi, les jeunes sont invités à la responsabilité. Il n’y a pas de sanction qui leur « tombe dessus » : s’ils n’ont pas respecté le contrat, ils savaient déjà ce qu’ils risquaient, puisqu’ils l’avaient décidé avec l’éducateur. Ce qui est un jeu, ce n’est plus le degré de tolérance de cet éducateur, mais c’est le respect du contrat dont les jeunes sont partenaires.

Chaque éducateur a un certain degré de tolérance à la transgression. Il réagira plus ou moins vite selon sa conception de ce qu’est un acte grave. Entre la « tolérance zéro » qui ne pardonne rien et sanctionne tout, et le laxisme qui ne voit aucune limite, l’éducateur salésien aime établir avec les jeunes une sorte de contrat de confiance. C’est ensemble qu’ils établissent les règles et les sanctions éventuelles. Ainsi, les jeunes sont invités à la responsabilité. Il n’y a pas de sanction qui leur « tombe dessus » : s’ils n’ont pas respecté le contrat, ils savaient déjà ce qu’ils risquaient, puisqu’ils l’avaient décidé avec l’éducateur. Ce qui est un jeu, ce n’est plus le degré de tolérance de cet éducateur, mais c’est le respect du contrat dont les jeunes sont partenaires.

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